Les Avis en attente de publication

Jeune géologue qui trouve les pierres plus intéressantes que les hommes, Alice va vite comprendre à quel point elle se trompe.
Lorsqu'une sonde s'écrase sur la Terre près de son site de fouilles, Alice Clarkson pense qu'elle a atteint, avec la découverte d'une météorite, le point culminant de sa carrière de collectionneuse de pierres précieuses. Seulement voilà, il ne s'agit pas vraiment d'une météorite. C'est une sonde extraterrestre conçue pour capturer des êtres vivants ; notamment des êtres vivants de sexe féminin.
Enlevée et exposée à la vente sur le marché aux esclaves d'une galaxie lointaine, Alice ne tarde pas à découvrir les plaisirs de la captivité dans les bras de l'extraterrestre le plus séduisant qu'elle ait jamais vu.
Kerr, haut commandant des guerriers Kelon en charge de l'attaque du marché aux esclaves, va tomber sur un petit trésor humain qu'il va aussitôt vouloir garder pour lui tout seul.

J'ai décidé de lire cet e-book suite à un conseil de Klo, du blog "Les rendez-vous de Klo".

J'ai déjà lu pleins d'histoires du genre romance, à différentes époques, où la "demoiselle en détresse" est sauvé par un guerrier. Mais c'est la première fois que j'en lis une à la sauce extra-terrestre. C'est dans l'air du temps et qui sait, peut-être qu'un jour certains débarqueront vraiment ici.

L'histoire m'a plu, j'ai très souvent sourit même si en même temps, je me disais que je n'aurai pas la même réaction qu'Alice. On est toutes différentes après tout. Loin de chez moi, je dépéris petit à petit alors qu'Alice n'a pas ce genre de problème. C'est une voyageuse dès le départ.

La planète Kelon m'intrigue fortement. Comment font-ils pour vivre sous le sable ? A moins qu'il y a autre chose sous le sable ? C'est mon côté scientifique qui s'est mit en marche.

Les personnages sont intéressants et j'ai envie d'en savoir plus sur quelques uns, notamment Syl et Melron.

La fin me donne envie de lire le tome suivant sur Tara. Je sens que ce ne sera pas aussi facile qu'avec Alice.

La Terre est sur le point de mourir. Entre les météorites explosant de tous côtés, la navette dans laquelle Grace a embarqué décolle, dans une ultime tentative pour sauver des vies humaines. Avec peu de nourriture et d'eau, et huit passagers clandestins, la situation est délicate dans le vaisseau qui fait cap sur la nouvelle planète, Onvra. Un trou noir et un accident les attendent. Tandis qu'ils s'aventurent dans l'environnement étrange d'une planète plus étrange encore, les deux pilotes de la navette sont tués par une immense créature d'ébène aux crocs aussi blancs que l'ivoire.
Rask est un guerrier castien pur sang qui croit que sa planète est attaquée. Lorsqu'il rencontre le petit être qui se recroqueville pour lui échapper, il est intrigué. Après quatre cents ans de vie et une quasi-immortalité, Rask pensait avoir tout vu. Quand la créature déclare être une femme humaine, il n'en croit pas ses oreilles. Les femelles sont éteintes depuis aussi longtemps qu'il s'en souvienne. Mais elle en a pourtant bien le parfum suave. Il ne lui faut pas plus d'une bouffée de son odeur pour ôter sa cuirasse, révélant un mâle musclé et bronzé.
Rask avait cru son armure impénétrable. La caresse d'une douce main lui fait prendre conscience qu'il est impuissant face à cette petite humaine qu'il désire déjà.

J'ai acheté cette nouvelle en même temps que d'autres mais je ressors de ma lecture avec plus de questions qu'au départ.

L'univers est intéressant et relève pour beaucoup de la science-fiction et de catastrophe. Il y a des choses qui me paraissent invraisemblables mais sinon, le scénario reste cohérent.

Grace est sacrément courageuse et je comprends qu'elle ai flippé devant Rask. J'aurai été dans le même cas.

Les Castiens m'ont fait pensé à un mélange entre êtres avancées et hommes des cavernes. Il y a certaines choses avec eux qui m'ont presque fait hurler de rire.

Je ne sais pas encore si je vais lire le second tome. On verra bien si je m'ennuie un jour ou si j'ai une panne de lecture car vu le peu de pages, cela se lit rapidement et d'une traite.

Si vous voulez rire, foncez mais si vous cherchez une histoire bien construite avec des personnages très intéressants, passez votre chemin.

Ère de Gyeon - Année du dragon rouge - Pays de Koro

Choisir le futur roi, voilà la responsabilité de la princesse Aijee. La jeune femme doit échanger sa liberté contre un époux afin d'assurer la pérennité du trône. Quatre candidats sélectionnés parmi les notables devront la conquérir même si un seul fait battre son cœur : cet homme ténébreux qui l'attire à en oublier la raison.

Clans, combats, complots, guerres et amour. Ouvrez la porte du pays des pluies et vivez son histoire.

J'aime beaucoup les écrits de l'auteure donc c'est avec plaisir que j'ai participé au Masse Chroniques des Editions Sharon Kena.

Tout comme l’auteure, je suis une fanatique des dramas coréens et j’ai donc tout de suite remarqué certaines choses qui m’ont fait penser à certains personnages de plusieurs dramas. On y retrouve aussi les principaux codes comme les scènes cocasses où l’héroïne tombe par hasard sur certains personnages qu’elle est amenée à revoir plus tard.

L’histoire est digne des dramas historiques avec ce que je déteste le plus : une fin qui vous fait utiliser des tonnes de mouchoirs (ou c’est moi qui suis trop sensible en ce moment). J’aurai pourtant dû m’y attendre mais j’ai surement dû me boucher les yeux en espérant que ce type de scénario ne serait pas de la partie.

Les personnages m’ont tous plu. Je ne pense même pas détester un personnage car ils ont tous une raison d’être comme ils sont et de se comporter comme ils se comportent. Mon personnage préféré est Chun car il m’a trop fait penser à un mélange entre Lee Min Ho dans son rôle de Choi Young dans le drama Faith pour le charisme et Uhm Tae Woong dans son rôle de Yeon Choong dans le drama Blade and Petal pour la partie paternel qui veut prendre le pouvoir. Aijee est tout aussi plaisante à suivre. Son parcourt est impressionnant entre le début et la fin du livre. Elle passe de petite rebelle fragile à une personne combative.

Mon ressenti sur cette lecture est difficile à décrire car on peut passer d’une crise d’hilarité à un moment, et subitement, un grand désespoir la fois d’après. Je pense que lire des livres est une bonne excuse pour investir chez Klenex.

Il est clair que je lirai la suite. Je prie juste pour que les mouchoirs ne doivent pas être utilisés à nouveau. Je ne met pas 10 uniquement car je n'aime pas la fin.

Je n'aime pas pleurer et je crois que ces derniers temps, les auteurs et les scénaristes se sont associés pour me faire pleurer dans leur séries papiers ou télés.

Elle le traquait, il l’a conquise.
Pour éviter le bannissement aux Sylvermyst, ces sinistres cousins des faes, Ariyal s’était vendu à Morgane. Affranchi après des siècles du joug de cette impitoyable maîtresse, il doit affronter un nouveau danger : Jaelyn, une guerrière vampire, envoyée pour le capturer. Il devrait la tuer sans hésiter. Pourtant, il ne peut se résoudre à la blesser.
Et tandis que les deux ennemis s’allient pour empêcher la réalisation d’une terrible prophétie, une dangereuse passion naît entre eux… scellant leurs destinées.

J'avais ce tome dans ma Pal depuis les Imaginales 2013 où j'ai rencontré Alexandra Ivy. J'avais pourtant envie de lire ce tome avant même sa parution. Finalement, c'est grâce à une envie de Bit-Lit qui m'a pris que j'ai dévoré ce tome en une soirée (22h - 2h).

L'histoire recommence à peu près où c'était terminé le septième tome avec le bébé fille enlevé et Ariyal et Jaelyn passé dans un portail. On découvre de nouvelles choses sur le seigneur Sombre et ceux qui le servent. Une grande découverte ainsi que deux nouveau personnages qui serviront à un futur tome.

Les personnages sont plus passionnants que dans celui sur Tane. Il est vrai que je n'accroche pas avec tous les personnages à chaque nouveau tome.

Jaelyn et Ariyal forment un couple surprenant mais intéressant. Leur passé nous est un peu dévoilé mais on manque d'informations sur Ariyal. Cela ne m'a pas trop dérangé mais cela aurait été appréciable.

Le prochain tome portant sur Caine et Cassandre, j'espère ne pas mettre trop longtemps avant de le lire.

Ce huitième tome passe à un cheveu du coup de cœur.

2006. Au cours d'une banale mission de reconnaissance, le capitaine Bree Maguire - dite Banzaï - est abattue aux commandes de son F-16 dans la jungle de Corée du Nord. Bavure de l'armée coréenne ? Pas du tout. Victime d'un scientifique fanatique, la jeune pilote est cryogénisée. 2176. Bree s'éveille dans un monde où elle n'a plus aucun repère. Les Etats-Unis sont devenus l'Union des Colonies de la Terre à laquelle s'oppose le royaume d'Asie, dirigé par le prince Kyber. Tombée entre les mains de ce dernier dont elle ne sait s'il la considère comme son invitée ou comme sa captive, Bree est ébranlée dans ses convictions. Instinctivement, elle cherchera l'aide du soldat aux yeux bleus, chasseur de trésor, qui a découvert son corps dans une crypte engloutie avant de le ramener à la vie...

J'ai décidé de lire ce livre car j'avais envie d'un peu d'aventure avec une pointe de romance.

Tout commence à notre époque pour arriver en 2176. C'est de la science-fiction mais je trouve que c'est très réaliste sauf sur la montée des eaux qui d'après moi ne se fera pas aussi rapidement.

Les personnages ont un fort caractère et sont sympathiques, attachants.Bree et Ty sont comme l'adage "qui se ressemble, s'assemble". Un duo de choc dont j'ai envie de savoir ce qu'il va advenir.

Toutes les puissances en place me paraissent louches. Je me demande ce qu'ils cachent. Le prince Kyber est aussi très mystérieux. Ses ambitions sont obscures.

La fin est ce que l'on appelle une fin détestable. On a tant envie de connaitre la suite mais on est coupé dans notre élan.

La suite est déjà dans ma Pal et j'espère trouver le temps de la lire cette année.

Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature. Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie

Un an ou presque que ce livre se trouve dans ma Pal. Je n’avais pas eu le courage de le lire avant la proposition de lecture commune de Thychat.

Je n’ai pas du tout lu le résumé avant de me lancer dans l’histoire. C’est juste entendu dire qu’elle faisait pleurer donc j’ai préparé pleins de mouchoirs qui n’ont finalement pas servis. J’ai bien eu le nez qui pique, un nœud à l’estomac et une larme à l’œil mais pas plus.

L’histoire est belle avec des personnages poignants qui font face à leur destin qui s’annonce funeste à leurs manières. On se sait aucunement sur qui l’épée va frapper avant d’arriver au dernier quart du livre. On pense untel alors que ce n’est pas du tout ça.

Gus et Hazel m’ont plu même si parfois leurs réflexions me laissaient dans un flou avec un seul mot en tête : « Hein ?! ». Je n’ai jamais suivit de cours de philosophie alors ça doit être pour cela. Isaac est également un personnage détonnant. Le seul qui nous énerve est Peter Van Houten (oui comme le cacao amer) l’écrivain super doué mais super naze dans ses relations avec les gens.

Lire ce livre a été comme passer de l'autre côté et c'est comme ça que j'ai pu remarquer que malgré qu'ils soient malades, ils continuent d'avancer. Est-ce parce qu'ils sont jeunes ? Approchant des trente ans, je sais qu'à leur place, je ne tiendrai pas le coup. Ce livre m'a aussi rappelé mon grand-père décédé à la suite d'un cancer des poumons. Mon père a aussi eu un cancer mais d'un rein qu'on lui a retiré mais lui, il va bien. Pas de médicaments. Juste un scanner complet une fois par an.

Pas de coup de cœur pour moi. C’est une belle histoire pas vraiment agréable puisqu’on parle de cancer mais qui nous font passer le temps du livre du côté des personnes qui ne vont pas bien qui à chaque jour de vécu est dans le fond une sorte de pied de nez à la fatalité.

En arrivant au château de Trent Baines, le célèbre écrivain, Alaina a bien du mal à contenir son impatience. Enfin, elle va découvrir le visage de celui qui, dans ses romans, décrit avec une telle précision des crimes abjects survenus dans la région trente ans plus tôt qu’elle le soupçonne d’en être l’auteur. Mais quand le propriétaire des lieux apparaît devant elle, elle ne peut retenir une exclamation de surprise. Car l’homme à l’allure altière et au regard franc qui lui fait face est bien trop jeune pour être le coupable. En revanche, elle sent qu’un lien secret existe entre lui, les crimes et… elle-même. Comme une reconnaissance mutuelle fatale et évidente. Comme si, dans une vie passée, elle avait été son amante. Ou sa victime…

Cette histoire porte sur la réincarnation et le sentiment de "Déjà vu". C'est assez spécial mais j'ai apprécié ma lecture.

Les personnages sont spéciaux et sont tout aussi perdus que nous. Cela les rend plus proches de nous. On est jamais sûr de rien sur qui est le coupable avant d'arriver à la fin.

Heureusement que j'arrive à faire abstraction des scènes de crimes horribles qui sont dans le récit. La plume de l'auteure nous y aide également car elle ne s'attarde pas trop sur les détails. J'aime pas le gore moi.

C'est un livre que je classe en Thriller fantastique car on a droit à la "voix" du tueur. On comprend ses motivations mais il me fiche quand même la trouille.

Je n'ai pas lu le résumé avant de lire le livre. Si je l'avais fait, je ne suis pas sûre que j'aurai osé le lire.

Édouard Beriley, duc de Grandsvale, est un libertin notoire. En route pour la demeure familiale, il est surpris par une averse. Par chance, il trouve refuge chez une jolie orpheline. S’il doit passer la nuit chez elle, Édouard a bien l’intention de la séduire… et de l’oublier aussitôt.

Jeune, naïve et seule au monde, Alexandra Blackwood veut croire aux belles paroles d’Édouard. Quand il l’abandonne le lendemain, la leçon est terrible… mais elle compte bien ne jamais l’oublier.

Un an plus tard, leurs chemins se croisent à nouveau. Bien des choses ont changé et surtout, la rancune d’Alexandra est à son comble. Édouard, lui, ne semble se souvenir de rien. Il est même décidé à la conquérir…

Cela fait tellement longtemps que je n’ai pas lu de romance historique que je me suis dit que m’y remettre un peu serait une bonne initiative. Ce partenariat m’en a donné l’occasion.

L’auteure est encore une inconnue pour moi car évidement, je ne connais pas tous les auteurs faute de temps et de moyen mais je peux vous dire que sa plume nous entraîne facilement à la suite des personnages qu’elle crée. La seule chose que je regrette dans son texte, c’est qu’une relecture aurait été nécessaire vu les quelques erreurs de mots que j’ai pu relever.

Nous plongeons dans l’Angleterre de l’époque victorienne avec ce que cela comporte de règles de bienséances, de nobles et des conséquences de certains actes. On ressent parfaitement tout cela au travers du récit. J’ai beaucoup apprécié cet univers même si je n’aurai jamais voulu y vivre.

L’histoire nous parle des frasques d’Édouard et de la misère dans laquelle les conséquences de sa nuit avec Alexandra la plonge mais aussi de comment elle va s’en sortir en rencontrant une personne qui la remettre sur le chemin d’Édouard.

Autant Alexandra m’a plu tout de suite, autant j’avais envie de frapper Édouard. Il l’aurait mérité d’ailleurs. On assiste aux tentatives d’Édouard pour conquérir Alexandra et je suis satisfaite du fait que cela n’a pas été du tout cuit et qu’il a dû souffrir avant.

On rencontre un autre personnage intéressant mais à qui j’avais également envie de donner des baffes, le meilleur ami d’Édouard, Georges. Le prochain tome lui sera consacré et je pense le lire.

J’ai apprécié cette romance car les personnages sont très intéressants, que leur histoire n’est pas simple mais qu’elle se termine quand même bien car je suis une fille très fleur bleue et que les histoires qui finissent bien me donne le sourire surtout quand on a pas trop le moral. Je suis, de plus, réconciliée avec la romance historique que je fuyais depuis une dizaine d’années.